Nos revendications

La gratuité de tous les moyens de contraception disponibles au Québec pour toutes les situations de couverture médicale

  • Chaque dollar investi pour couvrir les coûts de contraception pourrait faire économiser 90$ de dépenses publiques en services sociaux. 
  • Le coût du contraceptif est la principale barrière au recours aux méthodes contraceptives à longue durée qui sont considérées comme les moyens de contraception les plus efficaces et qui coûtent le moins cher à long terme.
  • Cela contribuerait à la réduction des inégalités socioéconomiques entre les genres




Améliorer la formation des professionnel.le.s de la santé sur les moyens de contraception pour offrir un service de conseils soutenant le libre-choix 

  • Un service de conseil fournissant de l'information fiable et claire permet une prise de conscience de la diversité des méthodes de contraception et une plus grande observance de la méthode choisie. 
  • Le libre-choix de la méthode de contraception est nécessaire puisqu’elle repose sur l’agentivité et l'autonomie des femmes, hommes trans et personnes non-binaires et bispirituelles. Il s’agit aussi de permettre aux femmes et aux personnes ayant recours à des moyens de contraception de faire un choix qui correspond le mieux à leur état de santé, leur mode de vie, leurs valeurs et leurs croyances.
  • Le meilleur moyen de contraception est celui que la femme ou la personne va choisir librement et utiliser! 


Augmenter le financement des organismes communautaire spécialisés en santé sexuelle et reproductive 

  • L'accès à l'information concernant les différents moyens de contraception offerts est encore inégal au Québec et constitue un enjeu de santé publique.
  • Cela permettrait d'offrir des programmes et de l'information adaptée à la réalité de certaines populations marginalisées ou qui sont davantage susceptibles de discrimination et de préjugés de la part de professionnel.le.s de la santé sur les questions de contraception (personnes autochtones, 2SLGBTQIA+, en situation de handicap, racisées, itinérantes, etc.)
  • Cela permettrait une plus grande reconnaissance des organismes communautaires qui œuvrent en santé sexuelle et reproductive pour la promotion d'une sexualité saine, positive et épanouie, une composante importante de la santé globale des individus.